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Comment peut-on expliquer la douleur ?

Dernière mise à jour : 28 nov. 2024

Cet article n'engage que son auteur. Vous avez vos croyances et vous avez le droit d'être en désaccord avec ce qui est dit ici. Il vous est présenté une façon de voir les choses. Prenez ce qui vous parle, ce qui vous semble juste. Vous pouvez laisser le reste.



Si les douleurs n'étaient là que pour nous aider à nous réaliser?


Les douleurs apparaissent dans la région où il y a une introspection à faire.

Le "faux-mouvement", qui par exemple bloque le dos, est inexistant. Tous les mouvements sont vrais. Il bloque le dos à ce moment précis car c'est à ce moment qu'une recherche peut être effectuée, qu'une compréhension s'opère ou qu'une libération s'effectue.


La douleur signifie : "Stop !"

Stop dans l'action en cours également dans les pensées et les croyances.




Elle donne aussi un axe d'investigation. "Que se passe-t-il en ce moment dans ma vie ?"

"Suis-je en accord entre ce que je pense et ce que je vis ?"

"Dans ce que je vis, est-ce que je suis dans la bonne direction ?" ou dit autrement "La direction prise est-elle bonne pour moi ?"



Douce illusion ou doux leurre ?

En secourisme, j'ai appris à demander à une personne ressentant une douleur : "Où avez-vous mal ?" "Comment la douleur s'exprime-t'elle ?" La recherche de l'intensité de la douleur se fait par ces phrases : "Sur une échelle de 0 (aucune douleur) à 10 (douleur extrême, la pire du pire), à combien évaluez-vous votre douleur ?" Est-ce pertinent ? Nous allons voir cela.


Ça fait mal !

• se cogner le pied dans un meuble

• se faire piquer par une guêpe

• se brûler



Pourquoi ? 

Nous avons des récepteurs à la douleur dans notre système nerveux. Chaque tissu composant notre corps a la possibilité de libérer des substances chimiques lorsque les tissus sont endommagés. Ces substances sont à l'origine de la douleur. Le cerveau possède son propre système analgésique (qui efface la douleur) en fabriquant des opioïdes appelés endorphines et des molécules analogues à la morphine. Suivant la situation physiologique ou psychologique (bagarre, stress...), ces substances créées entraînent l'inhibition de la douleur. Trop forte, la douleur peut aussi entraîner la perte de connaissance. La douleur indique une mise au repos immédiat afin d'éviter d'endommager (plus encore) les tissus atteints. Il est possible de qualifier la douleur. Elle a plusieurs façon de s'exprimer. Elle est soudaine, aiguë ou chronique. "Ça brûle, ça pique, ça serre., ça pince…"


La tolérance à la douleur

Nous avons tous le même seuil physiologique de perception à la douleur. Nos corps réagissent tous au même degré d'intensité des stimuli douloureux. Une aiguille pique. Nous ressentons tous la piqûre de l'aiguille. Par contre, la tolérance à la douleur est personnelle. Les gènes peuvent expliquer en parti ce phénomène mais d'autres expériences ont montré que les pensées et "prendre la vie globalement du bon côté" augmentent cette tolérance. Pour réduire les douleurs, soyons optimistes et ayons la joie de vivre.





La localisation

"Où avez-vous mal ?" Est-ce une articulation ? un os ? un organe ? En étant attentif à la localisation de la douleur, il est possible d'en déterminer la cause. Pour le pied sur un meuble : "crétin de meuble ! que faisait-il là ?"


Non. Sérieusement. Pourquoi le pied a-t'il heurté ce meuble ? Que représente le pied ? Avec la liste ci-bas, vous aurez déjà un premier élément de réponse.






Le pied représente (=) un conflit entre la direction et le mouvement que l'on prend.

La cheville = capacité à demeurer flexible

Le tibia = tourments, difficultés à être mobile, protection par rapport au passé

Le genou = faire un choix entre individualité (JE) et le groupe (NOUS)

La cuisse = autorité / évolution spirituelle

La hanche / le bassin = autonomie / pouvoir

Le bras = l'accueil aux nouvelles expériences de vie

L'épaule = porte les joies, les peines, les responsabilités, les insécurités

Le dos = soutient et support.

La tête = individualité, autonomie


Le dos a pour symbolique le passé. Une douleur au dos peut indiquer qu'il est temps de se débarrasser d'une croyance, d'une pensée désuète. Peut-être même que cette croyance, cette pensée a appartenu à un aïeul ou à une vie antérieure.



Je vous propose maintenant de prendre connaissance de ces deux situations. Elles se sont présentées en 2023.


Situation numéro 1 :

Nous sommes à l'extérieur, en plein été. Un groupe de personnes s'affaire. Un homme marche en reculant. Il s'entrave et chute de sa hauteur. Il a ressenti une vive douleur à la cheville. Je prends le temps de me mettre en condition et de prendre du recul sur ce qui vient de se passer. Je décide, avec l'accord de la victime, de prendre en charge son pied le temps que les pompiers, prévenus, arrivent. Je reprends les questions de base. "Où as-tu mal ?" "à la cheville" De suite, je prends entre mes mains sa cheville pour immobiliser le pied. (douleur = repos) "quelle est l'intensité de la douleur ?" "8/10" (Je me dis que les pompiers peuvent demander le SAMU pour lever la douleur). Je reste avec la cheville dans mes mains en demandant de l'aide pour enlever sa chaussure. La chaussette, nous verrons cela plus tard. Bien qu'il fasse chaud, le pied peut ressentir du froid. Une fois "confortablement" installé, la chaussure enlevée, la victime se calme, se détend. La cheville toujours entre mes mains, je lui demande une nouvelle fois à combien il évalue sa douleur. Réponse : 5/10. Ce que j'ai enclenché fonctionne. Je sens sous mes mains que sa cheville réagit. C'est bon signe pour lui. Lorsque les pompiers arrivent, soit environ vingt à trente minutes après l'accident, nous travaillons ensemble pour garder le pied immobile durant la pose d'attelle et le retrait de la chaussette. Là, je libère le monsieur qui indique alors aux pompiers quand ils posent la question : "Aucune douleur ressentie". Sa femme m'apprendra que durant le transport jusqu'à l'hôpital et même après, la douleur est restée à 0. La radio montrera une fracture.

Le lendemain matin, à distance cette fois car je n'ai pu le lui rendre visite à l'hôpital, j'ai levé à nouveau sa douleur. Un coup de téléphone me l'a confirmé. Depuis, il s'est rétabli.


Situation numéro 2 :

Une dame de 76 ans se tord le genou sans chuter. Une douleur naît alors. Pensant à de l'arthrose et estimant qu'elle est en âge de souffrir, me le tait jusqu'à ce que je l'appelle par téléphone. Je lui propose alors mon intervention. Elle accepte. En arrivant chez elle, je m'aperçois que pour se lever et marcher, elle hésite, elle tangue. Je l'invite à s’asseoir confortablement et après lui avoir demandé son consentement , je pose mes mains proches de son genou. Elle me dit ressentir des sensations bizarres, de la chaleur. De mon côté, je sens son articulation, ses tendons et ligaments qui travaillent. C'est bon signe. Après un bon quart d'heure ainsi, je le lui propose de se lever... doucement. Je n'ai pas eu le temps de finir le mot "doucement" qu'elle est déjà debout en train de gambader dans sa maison. Elle n'en revient pas qu'en si peu de temps, juste avec mes mains, elle puisse ainsi se redresser, se tenir debout et marcher. Le lendemain matin, elle m'apprend que la douleur n'est pas revenue et n'est pas revenue depuis. Cette aventure se passe début décembre 2023.


Un exemple de problème causant des douleurs

L'arthrose est un mal que beaucoup d’anciens connaissent. À les écouter, cela fait parti du jeu de la vie. L'arthrose est une altération destructive des cartilages ou des fibrocartilages articulaires non-inflammatoire et dégénérative. Elle est ressentie sur les grosses articulations (genoux, coudes, épaules) et sur les petites composant mains et pieds. Pour une personne souffrant des doigts, une autre piste est à creuser : Le chikungunya. Les doigts n'arrivent plus à saisir ne serait-ce qu'un verre vide. La douleur est très forte. Il y a absence de déformation. L'arthrose ou le chikungunya peuvent être calmés par mes mains.


Quel que soit votre âge, une douleur, même chronique, n'a pas lieu d'être. Il est possible de faire en sorte à ce qu'elle se calme, voire disparaisse sur le long terme avec votre souhait et votre engagement dans cette voie. D'où provienne la douleur, le soulagement est réel, efficace, durable. Lors de votre séance vous apprendrez pourquoi votre organe vous fait souffrir et quels mots répétés peuvent éviter de nouveaux maux. Pour connaître ce soulagement, réservez votre séance.


En conclusion,

aucune douleur n'est anodine. Vivre avec des douleurs est pour moi une erreur. En les écoutant, on finit par mieux se connaître soi-même et par se réaliser. L'âge n'entre pas en ligne de compte car il n'y a pas d'âge pour évoluer.

Refuser d'évoluer, c'est aller vers des souffrances.

L'action est la vie. Il est possible d'être actif dans le non-actif en méditant par exemple.


Sources :

Dictionnaire "Larousse de Poche" éd 1994

Dictionnaire médical "Manulia" (A. Manulia, L. Manulia, P. Lewalle, M. Nicoulin) éd Masson

Dictionnaire des Codes biologiques des maladies (Téligaté, Edouard Van den Bogaert) éd Téligaté

Le grand dictionnaire des malaises et des maladies (J. Martel) éd Quintessence

Anatomie et physiologie humaine (E. Marieb, K. Hoehn) éd. Pearon


pour en savoir plus et réserver votre séance : https://www.soulagezvous.cyou


Qui l'auteur de cet article ?

Je suis Emmanuel Ponsignon, énergéticien et naturopathe. Initié en 2007 en géobiologie, j’ai reçu dans le même temps des bases de Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) et de Shiatsu équin. En 2020, la géobiologie s’est rappelée à mon bon souvenir par une nouvelle initiation. Lors de ma première initiation en communication animale guidée, il se révèle que je fais cela depuis ma plus tendre enfance. Mes initiations Reiki m’ont ouvert à nouveau une porte sur le Japon et ses médecines traditionnelles inspirées par la MTC.

De par un travail constant, mes savoirs-faire et mes dons se révèlent chaque jour plus efficaces pour le plus grand bien de tous.




 
 

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